Notre histoire
Depuis 4 générations, la Maison Bignalet met la qualité et le circuit court au cœur de sa démarche.Une aventure débutée en 1919 à Habas dans les Landes.
Remontez le temps1919 Naissance de la Maison Bignalet
A son retour en 1919, Prosper ouvre la boucherie Bignalet à Puyoô. En ces temps d’après-guerre le commerce reprend et Prosper se lance dans la livraison, d’abord à vélo puis en voiture.
1922
Mariage de Prosper et de Marie-Claire. De cette union naissent deux enfants : Ginette et Claude.
1933
L’entreprise déménage à Habas.
1947 Les balbutiements des camions tournées
Ginette épouse Eugène, employé boucher dans l’entreprise. C’est au couple que Prosper et Marie-Claire pensent pour prendre la relève de la maison Bignalet. Eugène met en place le premier camion magasin qui effectue des tournées de vente à proximité dans la campagne landaise. Malheureusement, Eugène meurt prématurément et c’est Claude, qui avait rejoint l’entreprise peu avant qui reprend l’entreprise en 1968.
Années 50
Claude rencontre Andrée. De cette union naîtra une belle équipe. Andrée aidera Claude à la boutique pendant de nombreuses années.
Années 60
Andrée, la femme de Claude donne naissance à Jacques
Années 70
Lancement de la première gamme de conserve
1974 - 1977 Jacques et la création culinaire
Jacques, le fils de Claude entre en apprentissage de cuisinier au collège de Capbreton. C’est la révélation ! Jacques est un passionné de créations culinaires. Il est récompensé pour son travail lors de plusieurs concours. Il travaille en Suisse puis à Paris mais les Landes lui manquent.
Il revient au pays et entame une formation de charcutier chez M. Dubernet à St Sever. Amoureux du terroir landais et de ses traditions, il participe à des évènements de course landaise en tant qu’écarteur.
Années 80
Fabrication des premières salaisons
1980
Jacques rejoint son père à la boucherie
2001
Jacqueline rejoint Jacques, son époux à la tête de l’entreprise.
2007
Ouverture de deux boutiques à Pouillon et à Orthez
2006 et 2010 Vers une maîtrise plus complète de la chaine
Construction d’un séchoir à Habas et acquisition de l’atelier de découpe d’Orthez
Ambitieux, Jacques développe l’activité de salaison. Jusqu’alors séchées dans le grenier de la maison familiale enveloppées d’un sac de toile, les salaisons sont désormais fabriquées dans un bâtiment annexe du site d’Habas. Le séchoir « Chez Gaujacq » est né.
Dans un second temps, la famille Bignalet acquiert l’ancien abattoir municipal d’Orthez. Les rénovations sont importantes mais ils entreprennent une mise au norme intégrale du bâtiment. Le site accueille les chambres de maturation des arrières de bœuf et la salle de découpe.
2012
Ouverture de la boutique à Mugron
2016
Amélie, la fille aînée de Jacques et Jacqueline, désireuse depuis son jeune âge de reprendre l’entreprise rejoint l’équipe.
2016
La maison Bignalet est récompensée par le Mercure d’or pour son dynamisme en milieu rural
2017
Ouverture de la boutique à Saint-Vincent de Tyrosse
2017 Nouveau site de production pour la transformation en charcuterie à Bellocq
C’est sans aucun doute le plus grand projet entrepris par la maison Bignalet : la construction d’un site de transformation en charcuterie. Grace à l’aide de la Chambre de l’industrie, de la région Nouvelle-Aquitaine, du Feder mais aussi d’autres organismes, l’entreprise a pu investir dans ce nouvel atelier de fabrication installé dans la commune de Bellocq.
En pleine expansion, l’entreprise a besoin de plus d’espace. Une meilleure organisation du travail permettra à l’entreprise de gagner en productivité et aux salariés de bénéficier de meilleures conditions de travail.
L’entreprise tient à prolonger les valeurs qui ont présidé à sa création : produire local et produire de la qualité
2018
Camille, la seconde fille de Jacques et Jacqueline, entre dans l’entreprise après un master en production et qualité des industries agroalimentaire
2019
Ouverture de la boutique d’atelier à Bellocq
2019
Déjà 100 ans !